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Savoir bien négocier son salaire à l’embauche est intimidant.
Une majorité de candidats ne prépare pas leur négociation salariale et accepte sans négocier le salaire qu’on leur propose. Et ça sera une des raisons de votre départ futur.
Aujourd’hui, je vous partage 3 principes qui vous serviront aussi pour savoir comment bien négocier son salaire lors d’un changement de poste ou lors d’un entretien annuel.
Faites-vous partie de ces personnes qui ne sont pas à l’aise pour négocier son salaire devant un recruteur ?
3 astuces pour savoir comment bien négocier son salaire à l’embauche
CONSEIL 1 : Partez des faits
Qu’est-ce qu’il se passe quand un recruteur vous propose une offre ?
Réponse : Vous acceptez le salaire qui vous est proposé sans négocier. Et vous êtes nombreux à le faire !
Selon une étude monster, 70% des Français grincent des dents quand
il s’agit de parler d’argent et quand vient l’heure de bien négocier son
salaire.
Pas étonnant, quand on voit que le français a un rapport particulier à l’argent.
A la question : “Vous sentez-vous à l’aise pour négocier votre salaire quand vous acceptez un nouvel emploi ?”, ils sont nombreux à répondre avec timidité.
Ils sont seulement :
12% à se dire “très à l’aise” à l’idée de négocier leur rémunération, contre 19% au niveau mondial et uniquement,
18% à se déclarer “assez à l’aise” contre 23% au niveau mondial.
Savoir bien négocier son salaire peut-être un tournant à votre carrière.
Quelques personnes m’ont posé là question : “comment bien négocier son salaire ?”
Voici 3 principes pour pouvoir bien négocier son salaire en partant des faits.
Selon
une étude récente Régions Job, Ce serait 2 femmes sur 3 qui ne seraient pas à
l’aise pour savoir comment bien négocier leur salaire.
« Ainsi, les femmes sont plus nombreuses que les hommes à finir « par accepter le salaire proposé », plus de 39%, quand les hommes préféreront « stopper le processus de recrutement » en cas de non satisfaction du salaire proposé. »
Et quand vous êtes sans activité, vous avez tendance à prendre ce qui vous est proposé et pas ce que vous méritez.
Comment bien négocier son salaire
A – Connaître sa valeur
Première chose à savoir; connaissez votre valeur par rapport au marché.
Je
vois trop de personnes se rendre à un entretien d’embauche sans bien se
préparer.
Dites-vous bien que si vous ne préparez pas vos entretiens, vous arriverez à un moment ou un autre à court d’arguments. Et
à court d’arguments face à quelqu’un qui a l’habitude de se retrouver face à
des personnes qui savent comment bien négocier son salaire.
Alors préparez-vous !
Et pour ça, trouvez un moyen de connaître les fourchettes de salaire proposées sur le marché.
Seulement
vous allez vous heurter au manque de transparence des salaires.
Rappelez-vous
on est en France et on n’aime pas parler de salaire, on parle très peu de
rémunérations.
Laissez-moi vous partager l’anecdote qu’un de mes amis m’a racontée lors d’un entretien d’embauche avec une startup à Paris.
L’entretien se déroulait normalement, le feeling avait l’air de bien passer. Arrivé vers la fin de l’entretien, le responsable de la startup est sur le point de conclure. Et là, il lui demande « est-ce que tu as des questions ?».
Mon ami répond : « bah oui ! Concernant le salaire ? Qu’est-ce que vous proposez ? »
Et là le type a une réaction hallucinante. Il prend un air suffisant et commence à lui faire le reproche de poser la question du salaire tout en le prenant de haut et en lui faisant la morale que ça n’est pas une question qu’on pose.
Plus j’en entends sur les startups moins j’ai envie de bosser avec.
Á la base, la plupart des employeurs ne divulguent pas beaucoup les salaires proposés, il y a une certaine opacité qui rend la négociation de salaire difficile.
Donc,
si vous vous retrouvez face à ce problème.
Une solution, vous vous rendez sur glassdoor qui est une application intéressante pour comparer les salaires.
B.
Faire jouer les bonus et
les avantages
Si le salaire ne suit pas, faites jouer pour compenser les avantages qui ont une valeur monétaire comme la mutuelle, les tickets resto et d’autres avantages.
N’oubliez
pas de les énumérer lorsque vous négociez le salaire de votre nouvel emploi.
C.
Demandez à vos collègues,
anciens collègues, amis et famille
Gardez
bien à l’esprit, une chose vous devez croire en la valeur que vous proposez,
car personne ne le fera à votre place.
Mais voici la partie la plus importante pour savoir comment bien négocier son salaire.
Le
recruteur lui vous donnera une fourchette de salaire et vous aurez besoin
d’avoir la vôtre.
CONSEIL 2 . Comment déterminer votre échelle de salaire
Commençons d’abord par définir le fourchette basse.
Quelle fourchette basse vous permettrez de joindre les deux bouts s’il n’y avait pas de meilleure alternative ?
Ensuite définir votre fourchette intermédiaire.
Puis définir la fourchette idéale.
C’est le salaire de vos rêves – ce serait le salaire qui vous donnerait l’impression d’avoir obtenu une augmentation de salaire avant même d’avoir commencé.
Oubliez
votre fourchette basse. Vous ne voulez pas ça !
Votre fourchette de salaire doit se situer entre votre fourchette intermédiaire et votre fourchette idéale.
Utilisez
cette échelle de salaire lorsque vous parlez à des employeurs potentiels.
Ces
étapes sont cruciales pour apprendre à négocier un salaire de départ.
Comment bien négocier son salaire quand on est jeune diplômé ?
Si vous venez de rentrer sur le marché du travail, vous n’aurez peut-être pas grand-chose à argumenter. Dans ce cas, présentez :
Votre enthousiasme,
votre éthique de travail,
votre ambition,
votre savoir-être.
Au minimum, demandez environ dix pour cent de plus que ce qui vous est proposé.
Comment bien négocier son salaire
CONSEIL 3 : Comment réussir à bien négocier son salaire lors d’un entretien
A-t-on besoin d’une méthode pour réussir à bien négocier son salaire ?
Il ne vous faut pas une méthode à ressortir lors de l’entretien d’embauche, mais une méthode de préparation.
Avoir
une méthode de préparation pour bien négocier son salaire augmente selon moi de
80% la probabilité de chances d’obtenir ce que vous voulez ou de vous
rapprocher de la rémunération visée.
Pour savoir comment bien négocier son salaire il vous faut avoir réponses à ces 4 points :
Vos réalisations probantes
Ce qui vous différencie des autres
Les raisons pour lesquelles vous changez de job et postulez à ce
job aujourd’hui
La manière dont vous vous présentez et mettez en valeur votre
parcours
Gardez
toujours à l’esprit que c’est le recruteur qui donne la mesure de la
négociation, laissez-le donc amener le sujet, car hormis de rares situations,
le sujet viendra.
Mais ne faites pas comme ce que j’ai pu voir lorsque je faisais du recrutement en entreprise. Il m’arrivait de recevoir des candidats qui négligeaient leurs attentes en termes de salaire. Ce qui est une grave erreur !
Voici
comment répondre à la question la plus difficile de l’entrevue:
Quelles sont vos exigences salariales?
Faut être honnête, dans ce genre de cas, on joue au poker. Le recruteur arrive avec une fourchette de salaire prédéterminée. Ils espèrent que vos prétentions seront au plus bas. Vous,
ce que vous voulez, c’est le salaire le plus élevé.
Comment répondre à la question du salaire ?
Évitez de donner une réponse précise trop tôt pendant l’entretien. Renvoyez le recruteur à sa question en lui demandant sa fourchette de salaire
Illustrez toujours vos arguments par des exemples de réussites et des preuves. TOUJOURS !
Si il ou elle vous fait une proposition, donnez-vous le temps de revenir avec une contre-proposition.
Si vos prétentions salariales se chevauchent, ça sent bon vous avez une carte à jouer !
Le rôle du recruteur c’est quoi ? Dans ce cas, c’est de vous recruter, oui ! Mais de vous recruter dans les meilleures conditions. Les meilleures conditions, mais pas pour vous, mais pour eux. Et si vos prétentions ne sont pas encore abordées, on vous posera la question
Quel est votre salaire actuel ?
Pourquoi
cette question ?
Le
recruteur essaiera de déterminer à travers votre salaire, ce qui pourra vous
proposer. C’est aussi simple que cela !
Vous allez devoir calculer : combien vous touchez actuellement en comptant les avantages cumulés.
Vous allez ainsi faire la liste de tous les avantages dont vous bénéficiez et ainsi faire augmenter votre salaire de base !
Ou sinon, vous pouvez toujours jouer la carte de la confidentialité et que vous ne pouvez pas partager cette info.
Oui,
c’est gênant mais ça l’est aussi pour lui ou elle.
Jouez la gêne mais continuez à leur prouver que vous êtes le candidat idéal.
C’est
crucial de ne jamais montrer que l’on a peur de bien négocier son salaire.
Gardez à l’esprit que le simple fait de demander ne constitue pas une raison suffisante de ne pas vous sélectionner. Si c’est le cas, c’est que vous ne vous y êtes pas bien pris quelque part ou tout simplement qu’ils n’en valaient pas le coup.
Alors sentez-vous libre d’aborder la question des prétentions salariales, encore plus s’il est indiqué sur l’annonce salaire : “ouvert à la négociation”.
Pour aller plus loin :
Si vous avez le projet de changer de métier et que vous voulez vous préparer à votre nouvel emploi, pensez au coaching. Contactez Jordane et demandez votre séance découverte.
Et le plus important c’est d’agir et surtout de refuser de rester bloqué.
Rester bloqué dans votre situation et refuser d’agir, c’est votre plus gros frein pour accéder à une vie qui vous ressemble.
Un jour un athlète a dit lors d’une interview après sa course :
Le blocage n’est pas un problème. Rester coincé l’est. Les bons apprennent et s’entraînent à se débloquer.
Beaucoup de gens veulent une vie meilleure, mais ils ne savent pas par où commencer.
D’autres ont fait des choses incroyables dans le passé, et se battent aujourd’hui pour redevenir géniaux.
La bonne nouvelle c’est que se sentir bloqué s’agit simplement d’un sentiment.
La bonne nouvelle vis-à-vis du fait de se sentir bloqué
Lorsque vous commencez à faire des progrès positifs, ce sentiment s’estompe.
Un jour, lors de mon premier voyage au Japon, un Japonais m’a répondu après lui avoir parlé de mon métier de salarié de l’époque :
“Grandir est douloureux. Le changement est douloureux. Mais rien n’est aussi douloureux que de rester coincé quelque part où tu n’as pas à être. »
Lorsque vous vous sentez coincé, les choses vous semblent figées, enracinées, voire sans espoir, mais la bonne nouvelle, c’est que vous pouvez toujours y remédier.
Lorsque vous êtes bloqué, je vous recommande de vous poser ces trois questions importantes pour réévaluer et bouger à nouveau dans la bonne direction.
Trois questions pour débloquer sa vie
Ces trois questions sont très simples :
Qu’est-ce que vous voulez ?
Arrêtez de dire ce que vous ne voulez pas. Nommez-le. Définissez ce que vous voulez.
Qu’est-ce qui vous bloque ?
Une croyance ou un état d’esprit. Une Peur. Une excuse.
Que devez-vous faire pour obtenir ce que vous voulez ?
Travaillez maintenant à la résolution de ce problème, mais faites-le en commençant par de petites actions au quotidien.
Brisez la norme
Se sentir bloqué dans sa vie
Faites une pause pour rétablir votre énergie mentale
Je l’ai déjà dit dans une vidéo :
“Parfois, tout ce dont vous avez besoin pour rétablir votre énergie mentale c’est de prendre du recul et à vous demander est-ce que ce je suis en train de faire me permet de progresser.”
Si vous vous sentez coincé dans un domaine différent de votre vie, brisez la norme !
Quand j’anime des ateliers auprès de consultants freelances pour les aider à trouver des missions.
Je constate que la plupart ne se rendent pas compte qu’ils ne posent pas d’actions concrètes différentes qui leur permettent d’obtenir des résultats différents.
Prenez du recul, prenez une pause et évaluez la pertinence des actions que vous mettez en place.
Faites-vous une faveur et prenez un peu de temps pour prendre du recul et réajuster.
C’est toujours dans les moments où vous vous y attendez le moins que vous obtenez les meilleures idées.
Et qui dit meilleures idées dit meilleurs résultats.
Essayez de penser latéralement.
Pour ne plus se sentir bloqué, pensez différemment
La pensée latérale signifie; s’attaquer à un défi sous des angles complètement différents pour trouver d’excellentes solutions qui resteraient inexplorées avec une pensée classique.
Comme le disait Einstein :
“la folie c’est de refaire toujours la même chose, et d’attendre des résultats différents “.
Une nouvelle approche est probablement tout ce dont vous avez besoin pour débloquer votre vie.
Éloignez-vous de la pensée verticale.
Quand vous êtes dans la pensée verticale : vous y allez pas à pas, vous analysez, vous vous basez sur les faits pour viser un résultat attendu.
Quand vous êtes dans la pensée latérale : vous êtes dans la provocation d’idées, vous contournez les règles, vous évaluez les possibilités et cela débouche sur de nombreux résultats.
Shane Snow , auteur de Smartcuts: Comment les pirates, les innovateurs et les icônes accélèrent le succès explique:
“La pensée latérale est le processus de résolution de problèmes par des angles différents de ceux auxquels vous pourriez vous attendre. Ce qui ne vous arrive pas quand vous pensez normalement. Il ne suffit donc pas de travailler plus fort pour atteindre un objectif, mais de repenser l’approche que vous adoptez. La pensée latérale consiste à se connecter à l’esprit, à casser des règles qui ne sont pas vraiment des règles. Ce sont juste des façons de faire qui fonctionnaient dans le passé.”
Changer de cap
Se sentir bloqué dans sa vie
Changer de cap, ça peut être difficile, je le conçois, mais ce qui est le plus passionnant, c’est que votre espoir revient.
Mais tout change lorsque vous utilisez un système de responsabilisation.
Trouvez un soutien, osez dire que vous avez besoin d’aide.
Vous ne pouvez pas tout supporter seul et porter le poids de votre sentiment d’être bloqué.
Demandez de l’aide
Trouvez quelqu’un qui vous mettra au défi, qui vous engagera et qui vous aidera à évoquer un sentiment d’accomplissement en vous.
Allez au-delà du simple discours et engagez-vous dans des actions spécifiques qui vous feront progresser.
Et acceptez l’idée de demander à quelqu’un d’autre de l’aide.
Une fois que vous commencerez à bouger, vous vous sentirez incroyablement mieux.
Vous sentirez le pouvoir du mouvement et ce sentiment d’être bloqué sera derrière vous.
C’est tout ce qu’il vous faut pour commencer à bouger et à vous créer à nouveau.
Vous n’êtes pas obligé de rester coincé.
Vous pouvez choisir de prendre des mesures aujourd’hui pour progresser, en progressant vers votre but ultime dans la vie.
Sachez ce que vous voulez, parlez de ce qui vous bloque et gravissez la dernière marche pour y arriver.
Choisissez de rendre votre vie meilleure, même lorsque vous ne vous sentez pas coincé!
Mise à jour : mon couple d’amis à déménager, lui a démissionné après avoir vu sa demande de rupture conventionnelle refusée et elle a trouvé un job très rapidement.
Pour aller plus loin :
Si vous vous sentez bloqué dans une vie professionnelle peu épanouissante, pensez au coaching. Contactez Jordane et demandez votre séance découverte en cliquant ici.
GUIDE pour les personnes qui PENSENT TROP… Passez à l’action !
Ne pensez pas ! Faites-le !
Beaucoup de personnes ont des difficultés à viser le juste milieu entre la pensée et l’action.
Et cela représentera toujours un défi pour une majorité de personnes.
Lorsque vous passez trop de temps à réfléchir sur votre projet, en vous disant “faut qu’il soit parfait”, vous passez trop peu de temps à la réalisation, vous ne faites au final aucune avancée.
Permettez-moi de vous dire que c’est très facile de rester trop de temps dans la phase de réflexion et de planification.
Ils/elles pensent trop… au moment parfait !
Et plus il y a d’informations, plus vous chercherez à tout maîtriser.
Vous avez déjà vu le film « Le fondateur » sur l’histoire de Mac Do ?
Ray Kroc qui est le millionnaire du Hamburger à un jour dit «Les deux conditions les plus importantes pour un succès majeur sont: premièrement, être au bon endroit au bon moment, et deuxièmement, faire quelque chose».
J’ai plein d’idées, mais je ne passe pas à l’action
Guide pour les personnes qui pensent trop… Passez à l’action !
Des personnes qui sont enthousiastes parce qu’elles ont plein d’idées, il y en a un nombre incalculable.
Mais, qu’est-ce qu’il se passe la plupart du temps pour ces personnes qui pensent trop ?
Elles repoussent comme beaucoup la réalisation de leurs idées à plus tard.
Et vous savez où ces idées atterriront ?
Sur des listes de choses à faire qu’elles finiront par négliger en essayant de se convaincre que c’est irréalisable.
Lorsque vous adoptez la « mentalité réflexion » plutôt que la « mentalité du faire», vous vous retrouvez avec des applications de notes ou des blocs-notes qui débordent de centaines d’idées ou de plans qui ne se feront jamais.
Ce qu’il se passe c’est que ça vous donne le sentiment d’avoir accompli quelque chose en en parlant. Et vous ne faites rien, car vous croyez avoir fait quelque chose.
Mais dans la réalité… Non !
Être dans l’action plutôt qu’être simplement dans la réflexion ou dans les dires requiert de la discipline et de l’engagement envers vous-même.
Bien sûr qu’agir comporte plus de risques que de ne rien faire, mais c’est le seul moyen de progresser.
Si vous faites partie de ces personnes qui pensent trop et que vous n’êtes pas assez audacieux et concentré, vous ne pourrez jamais dépasser le stade de la «réflexion».
Guide pour les personnes qui pensent trop… Passez à l’action !
Thomas Jefferson a dit un jour : “Vous voulez savoir qui vous êtes ? Ne vous demandez pas. Agissez ! L’action vous délimitera et vous définira.”
Si vous voulez vraiment faire quelque chose, vous trouverez une bonne raison de la réaliser, sinon vous serez convaincu par vos excuses de ne pas le faire.
Avis aux personnes qui pensent trop :
Embrassez l’habitude d’agir !
Ne pas trop planifier et sous-agir !
L’inaction est chère !
Je ne dis pas qu’il ne faut pas réfléchir et foncer tête baissée comme un buffle.
Réfléchir et planifier à l’avance c’est important, c’est même essentiel pour votre réussite à court terme, mais agir l’est encore plus pour réussir à long terme.
Des petits actes accomplis sont mieux que de grands actes planifiés
Le simple fait de réfléchir à une chose ne vous fera aucun bien si vous ne le faites pas réellement.
Chaque fois que vous remettez quelque chose au lendemain, cette chose finit en file d’attente et presque tout dans cet ordre de choses à faire ne voit jamais le jour.
Pendant que vous réfléchissez à cette question, attendez-vous à ce que la réponse soit une chose simple, réalisable dans les 30 prochaines minutes ou moins.
Quelle que soit la réponse raisonnable proposée, acceptez-la et agissez immédiatement.
Dale Carnegie a dit un jour: «L’inaction engendre le doute et la peur. L’action engendre la confiance et le courage. Si vous voulez vaincre votre peur, ne restez pas assis à la maison à y penser. Sortez et mettez-vous au travail.”
L’action est le plus beau cadeau que vous êtes le seul à pouvoir vous offrir, alors lancez-vous.
Avant que vous partiez :
Si vous avez un projet de reconversion professionnelle, de changer de métier ou de trouver votre voie. Pensez au coaching. Contactez moi et demandez votre séance découverte en cliquant ici.
Hé bien, il y a quelques jours, j’ai eu l’idée de faire quelque chose que je n’avais pas fait depuis longtemps : aller dans un musée près de chez moi.
Tout en passant d’une allée à une autre, je suis arrivé dans une pièce où un groupe de touristes se trouvaient face à un tableau.
La curiosité humaine m’a amené à poser mon œil sur ce tableau.
C’était un tableau d’un artiste peintre inspiré de Van Gogh.
Grâce à ma discrétion de sentinelle, j’ai tendu l’oreille pour écouter ce que la guide du groupe leur expliquait.
Elle parlait de la façon dont le peintre s’y prenait pour peindre ses tableaux.
Jusqu’ici rien d’étonnant !
Cependant un détail a retenu mon attention.
Votre vie est une succession de choix ou de non-choix
Elle a parlé de la technique qu’il utilisait : le pointillisme.
Pour faire rapide, le pointillisme est une technique picturale qui consiste à mettre bout à bout de petites touches de couleur.
Quand le groupe est parti, je suis resté devant la peinture.
Comme d’habitude, je me suis posé quelques questions existentielles.
Je me suis dit que cette peinture est en fait une succession de coups de pinceau, dont aucun n’est isolé.
l’effet cumulé, comment changer de vie avec les micro-choix
En fait, si vous vous rapprochez de la toile, tout ce que vous pouvez voir, ce sont tous ces coups de pinceau de peinture jaune, or et marron, apparemment sans rapport entre eux.
Par contre, au fur et à mesure que vous vous éloignez de la toile, tous les coups de pinceau s’additionnent et produisent un merveilleux paysage de champ de blé.
Tous les coups de pinceau cumulés ensemble créent une peinture captivante.
Utilisez l’effet cumulé pour changer de vie petit à petit
Pourquoi est-ce que je vous parle de ça ?
Car ce principe de cumulation de coups de pinceau pour former une image s’applique aussi dans différents domaines de votre vie comme :
la santé,
le sport,
le développement personnel,
la productivité,
le business et
les relations.
L’une des idées qui m’est apparue et que je voudrai que vous reteniez c’est :
Ne pas vous concentrer sur les résultats d’une seule journée. Préférez plutôt vous concentrer sur la grande image. Votre grande image finale que vous voulez voir.
Et ça n’est possible qu’à travers chaque coup de pinceau individuel que votre image devient belle.
C’est-à-dire que votre engagement de produire un résultat CHAQUE JOUR est la clé pour créer une belle vie.
Comment est-ce que vous pouvez espérer changer de métier, améliorer sa vie, perdre vos kilos, améliorer vos relations si vous continuez d’agir de manière irrationnelle et incohérente ?
Agir pour changer de vie oui mais pas comme un utopiste
En revanche, agir de manière rationnelle et cohérente a des effets à long terme.
La vie est une série de choix, de décisions que vous faites tous les jours.
Et tous ces choix et ces décisions s’additionnent à un résultat important.
Chaque décision est une graine que vous plantez pour votre avenir.
Des bonnes décisions donnent de bons résultats.
Des mauvaises décisions donnent de mauvais résultats.
Je vous recommande ce livre si vous ne l’avez jamais lu.
Dans son livre, Darren Hardy dit que
“Ce ne sont pas les grandes choses qui s’additionnent à la fin; ce sont les centaines, les milliers, les millions de petites choses qui séparent l’ordinaire de l’extraordinaire .”
Darren expose une formule simple dans le premier chapitre …
Micro choix intelligents + Cohérence + Temps = DIFFÉRENCE RADICALE
Selon Darren :
“Les petites choses, qui peuvent vous paraître apparemment insignifiantes sur le moment, ces petites choses accomplies de façon constante au fil du temps créeront une différence radicale» dans votre vie et vous mettront sur la voie de la réussite professionnelle que vous désirez et méritez.”
La composition n’est pas différente de la règle des 10 000 heures.
Comment changer de vie avec l’effet cumulé
Comprenez que chaque action, chaque décision, chaque indécision a des conséquences sur votre avenir.
Même les choix les plus simples.
Les actions prises au fil du temps vous permettront de grandir.
Seulement, je sais très bien ce que vous vous dites… vous n’avez pas la patience.
Et la patience est selon moi, une vertu qui se perd proportionnellement à vos habitudes d’utilisation de la nouvelle technologie.
On est dans l’ère de l’instantanéité !
Plus vous êtes habitué à obtenir une info, une musique, un film, un achat, un partenaire rapidement.
Plus vous oublierez votre habitude à savoir attendre avant d’obtenir une chose que vous convoitez.
Prenons un autre exemple de Darren pour que vous puissiez mieux vous approprier l’idée.
Il prend l’exemple du café :
“Le coût réel de votre habitude à boire un café de quatre euros par jour sur 20 ans est de 51 833,79 €. C’est la puissance de l’effet cumulé.”
AGIR ou NE PAS AGIR est une décision que vous ne devriez pas prendre à la légère
Tout ce qui se répète au fil du temps crée au final un résultat cumulé.
Vous avez à votre disposition un nombre incalculable d’actions que vous pouvez appliquer tous les jours pour profiter des avantages de l’effet cumulé:
Par exemple, en ce moment, j’écris 3 pages par jour de quelque chose dont je vous parlerai bientôt… j’espère !
Vous pouvez améliorer vos compétences un jour à la fois.$
Lire seulement cinq pages d’un livre chaque jour.
Décider de manger 100 calories de moins par jour.
Marcher quelques minutes tous les jours.
Méditez cinq minutes tous les matins. 5 min ! Ce n’est rien !
Économiser quelques euros chaque mois.
Investir dans votre développement personnel, même si ce n’est que quelques minutes chaque jour, ça paiera à long terme.
Imaginez, après seulement un an, la différence dans votre vie sera énorme.
Développez votre discipline et cumulez-la, vous verrez ça paie!
l’effet cumulé, comment changer de vie avec les micro-choix
Certaines de vos décisions, de vos choix favorisent votre développement alors que d’autres non.
De simples erreurs de jugement, qui ne semblent pas faire de différence aujourd’hui, peuvent vous coûter cher demain.
Vous en êtes là dans votre vie à cause de la façon dont vous avez considéré chaque «aujourd’hui» depuis des décennies.
Vous ne changerez jamais votre vie si vous ne changez pas quelque chose que vous faites quotidiennement.
Vous pouvez vous construire un meilleur avenir, en prenant de meilleures décisions aujourd’hui.
Prendre conscience de vos choix est la première étape
Donc faites un choix pertinent aujourd’hui, pas demain, pas après-demain, pas la semaine prochaine, aujourd’hui !
Tout en gardant à l’esprit que vos habitudes, vos actions et vos décisions peuvent changer votre vie.
Repensez au tableau, chaque journée ne doit pas être considérée isolément du reste de votre vie – mais plutôt comme les coups de pinceau d’une belle peinture – quand ils sont tous cumulés – la vie que vous voulez apparaîtra.
C’est l’effet cumulé qui fait toute la différence dans le monde.
C’est le grand jour aujourd’hui pour prendre une décision dont vous serez reconnaissant d’ici l’année prochaine.
Alors, allez-y !
Pour aller plus loin:
Si vous êtes prêt à commencer une habitude qui change la vie, que vous avez un projet de reconversion et que vous voulez changer votre quotidien professionnel, pensez au coaching ! Contactez Jordane en cliquant ici.
Enquête métier et reconversion : les questions clés à poser
Réussir son enquête métier
Vous êtes à l’étape de l’enquête métier dans votre projet de reconversion professionnelle ? Félicitations vous êtes à deux doigts de changer de métier.
Seulement voilà, vous ne savez pas comment faire une enquête métier ?
Pas d’inquiétude, on va voir ça ensemble !
L’enquête métier pour valider son projet de reconversion professionnelle
Mais surtout pour ne pas tomber dans le fantasme ou l’idéalisation d’un métier.
À cette étape vous avez dû faire un travail de veille informationnelle et de préparation.
J’entends par là une cartographie ou bien des fiches des métiers, des fonctions ou des secteurs d’activités que vous voulez explorer.
Si vous ne l’avez pas fait, je vous invite à procéder à cette étape avant de vous lancer dans une enquête métier afin que vous ayez le maximum d’informations utiles pour vous aider à poser vos questions.
À ce sujet voici quelques exemples de questions à poser pour son enquête métier.
Exemple d’enquête métier
Si vous aimez le jeu de rôle/Jeu de société Sherlock Holmes, vous allez adorer cette partie-là.
Pour cette enquête métier, vous devez d’abord enquêter sur vous-même, vous avez donc identifié les choses importantes à retrouver dans votre futur métier.
Ces choses importantes doivent se retrouver dans vos questions d’enquête métier.
J’entends par choses importantes, vos besoins, vos valeurs et vos objectifs.
Adapter vos questions !
Après il y aura toujours des questions basiques que vous pourrez poser à n’importe quelle autre personne.
Rappelez-vous dans tous les cas que l’ensemble des réponses à vos questions doivent vous permettre d’obtenir la réponse ultime à la question « Quelle vie j’ai envie d’avoir ? ».
Demandez à votre interlocuteur comment il gère son temps pro et perso.
Est-ce que le télétravail est une pratique habituelle dans l’entreprise ?
Quelle est l’ambiance au travail et les relations hiérarchiques ou entre collègues ?
Etc.
Si vous mettez l’accent sur la notion de plaisir au travail :
Demandez-lui (ou elle) quel besoin a-t-il voulu satisfaire en choisissant ce métier ?
Quelle est sa plus grande source de satisfaction ?
Etc.
Les questions à poser
Enquête métier
L’enquête métier a pour objectif de vous aider à trouver le lien entre vos compétences, vos aspirations, vos besoins et vos valeurs.
C’est comme un questionnaire de découverte de métier pour s’aider à trouver sa voie.
Ce lien vous le ferez naturellement au fur et à mesure que vous questionnerez la personne.
Vous devez ressentir de l’envie de votre côté lorsque vous écoutez parler la personne.
Si elle vous donne envie, c’est plutôt bon signe, mais veillez à toujours avoir plusieurs sons de cloche.
Car il suffit que vous tombiez sur un amoureux de son travail pour avoir une vision faussée du job.
Pensez donc à ramener les questions à vos besoins professionnels et aussi personnels.
Pour réaliser cette enquête métier, je vous préconise grandement l’utilisation d’un questionnaire ou une prise de note vocale qui restitue les dires de la personne.
Il existe quelques applications que je n’ai pas en tête, je vous invite à aller fouiller dans votre smartphone.
La personne rencontrée
Nom
Métier
Téléphone
Entreprise
Le contenu du métier et les tâches
Évitez dans votre enquête métier les questions trop vagues du style “pouvez-vous me décrire votre métier ?”.
Orientez plutôt la question en lui demandant le contenu du métier au quotidien. “C’est quoi une journée type ?”
Intéressez-vous ensuite à votre interlocuteur en lui demandant :
Qu’est-ce qui l’a amené à choisir ce métier ?
Puis demandez-lui : quel est son parcours professionnel ?
Quelles sont les activités et tâches qui occupent la majeure partie de son quotidien ?
Quelles sont les tâches plus secondaires ou occasionnelles ?
Quelles sont les responsabilités à assumer ?
Les compétences requises
Quelles sont les compétences techniques et opérationnelles nécessaires ?
Quelles sont les compétences pré-requises à maîtriser ?
Est-il nécessaire d’avoir un type d’expérience spécifique ?
Quelles sont les qualités personnelles essentielles pour être bien et à l’aise par rapport au poste, à l’équipe de travail, la clientèle … ?
L’environnement et les conditions de travail
Qu’elles sont les conditions dans lesquelles il travaille ? (Seul où en équipe, relations hiérarchiques, les temps de travail, les déplacements, la part d’autonomie et d’initiative, etc.)
Quel est l’environnement de travail spécifique à ce métier ? (Lieux de travail, relations, ambiance, etc.)
Quels sont les outils et méthodes que vous avez à disposition ?
L’accès au métier
Déjà y a-t’il besoin d’une formation ou plutôt d’une expérience ?
Si une formation est nécessaire, quels sont les diplômes reconnus ?
Est-ce qu’il existe des formations alternatives ?
Quelles sont les recommandations en termes de formation ?
Comment votre interlocuteur est rentré dans ce domaine ? (Stage, recrutement, cooptation ?)
L’avenir du métier
Quel est l’état du marché du secteur ?
Est-ce que le secteur recrute en ce moment ?
Quelles sont les perspectives d’évolution de carrière du métier ?
Quelle est son opinion vis-à-vis du futur de son métier ?
Les contraintes du métier
Quelles sont les contraintes du métier ?
Le positif du métier
Qu’est-ce qui vous apporte de la satisfaction dans ce métier ?
Qu’est-ce qui vous frustre ?
Quand vous sentez-vous le plus utile ?
Qu’améliorerez-vous dans ce métier ?
La rémunération
Quel est le salaire moyen pour un débutant
Quel est le salaire moyen après 5 années d’expérience ?
Quelles sont les possibilités d’augmentation ?
Les conseils
S’il avait un conseil à se donner à lui-même au moment de commencer, que se dirait-il ?
Est-ce qu’il peut vous présenter ou vous faire rencontrer d’autres professionnels susceptibles de répondre à vos questions ?
Avec tout ça, votre enquête métier sera la plus complète.
Il y a un paquet de questions, c’est pour cela qu’il vous faut être transparent, convaincant et bon communiquant de manière à ce que l’interviewé se prête au jeu de l’enquête métier sans y répondre à moitié.
Introduisez les questions naturellement sans ressembler à Raphaël Mezraoui.
Votre ressenti sur le métier et votre décision dépendront de l’intensité de ses réponses à vos questions et de sa volonté à répondre à votre enquête métier.
Alors, soyez naturel !
Bon jeu et bonne enquête métier.
Pour aller plus loin :
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Refus de choisir du multipotentiel : choisir un métier quand on s’intéresse à tout
Est-ce que le refus de choisir fait partie de votre quotidien ?
Est-ce que le fait de choisir une carrière toute tracée est synonyme d’ennui et d’angoisse ?
Le refus de choisir peut faire partie de votre vie surtout si vous êtes mutlipotentiel.
Si on m’avait dit à l’époque, quand j’étais étudiant que ça n’était pas un syndrome et que j’étais juste multipotentiel, ça m’aurait libéré d’un point énorme.
Les difficultés de s’orienter quand on est étudiant
Je me rappelle que quand j’étais étudiant, j’angoissais à l’idée de ne pas savoir quoi faire après mes études.
À chaque anniversaire c’était la panique.
J’étais obsédé par le tic tac de la montre et terrifié de ne pas trouver ma voie.
Enfin, j’étais surtout dans le refus de choisir, car j’avais peur de passer à côté de ma vie si je faisais un choix qui ne m’aurait pas convenu.
Puis quand j’ai trouvé ce que je voulais faire, je me suis dit : “hey, mais en fait je ne suis pas supposé faire qu’une seule chose dans ma vie !”
Peut-être que comme moi vous avez angoissé ou vous angoissez à trouver ce qui pourrait vous convenir ?
Et si en plus vous vous dites que la vie est trop courte, ça se rajoute à votre angoisse vis-à-vis de l’avenir.
Et ça l’est encore plus pour quelqu’un qui souhaite vivre plusieurs vies dans une seule.
La curiosité : le moteur du multipotentiel
Personnellement, ça n’est pas le fait de vouloir vivre plusieurs vies qui me fait être un multipotentiel.
C’est principalement le fait de ne pas apprécier ce sentiment d’être débutant dans un domaine.
Est-ce que c’est la curiosité qui m’amène à m’intéresser à tout ?
Ou est-ce le fait de ne pas supporter de ne pas savoir faire quelque chose ?
Il se pourrait que ça soit d’abord la curiosité…
Car dès que je sais faire une chose, je passe à une autre.
Ca pourrait très bien être la recherche de nouveaux défis qui m’amènent à passer d’un sujet à l’autre ?
En tant que multipotentiel, ce refus de choisir provient de notre besoin de nouveauté alimenté par notre curiosité.
Mais s’il y a bien une chose qui n’est pas vraiment abordée dans la multipotentialité, c’est la distinction entre ceux et celles qui ont soif de connaissances et ceux et celles qui ont soif d’expériences.
Vous voyez la nuance ?
On n’apprend pas de la même façon et ainsi on ne choisit pas de la même manière.
Alors ?
Où est -ce que vous vous situez ?
Identifier ça dans un premier temps clarifiera beaucoup de choses en ce qui concerne votre câblage interne.
Venons en maintenant à la question de choisir un métier lorsque l’on est multipotentiel.
Entre refus de choisir et choisir un métier
Premièrement, je tiens à vous faire un rappel.
Beaucoup de personnes ont tendance à oublier cette idée, le choix que vous allez faire ne vous enfermera pas pour toute la vie.
Quand vous êtes face à un choix, votre cerveau reptilien prendre le dessus et vous transforme en carapace.
Ainsi vous entretenez cette croyance que si vous faites un choix, c’est pour la vie ?
Choisir un métier ne vous engagera pas pour toujours alors relax et repensez à votre besoin de nouveauté et de changement.
L’ennui, l’ennemi juré du Multipotentiel
Dans tous les cas, ce que vous voulez c’est un job où vous vous sentirez utile à vous-même, utile aux autres, où vous aurez une diversité des tâches et où vous apprendrez de nouvelles choses… sur le moment.
Mais quelques mois plus tard ou bien plus tard, vous vous ennuierez.
Et si vous êtes multipotentiel, vous avez zéro tolérance avec l’ennui.
L’ennui est néfaste à votre santé mentale.
Si quelqu’un vous dit que vous êtes trop difficile et que parfois il faut faire avec l’ennui, c’est qu’il n’est pas multipotentiel, il ne sait pas ce que c’est.
Pour un multipotentiel, l’ennui est comparable à un assèchement cérébral, comme un naufrage sur une île déserte où il n’y aurait ni humains ni végétation.
C’est-à-dire un endroit où il n’est pas possible d’explorer de nouvelles choses, de créer de nouvelles choses, d’apprendre de nouvelles choses.
Et ça, c’est essentiel pour un multipotentiel !
Sans ça, c’est la déprime assurée !
Et vous savez comme moi qu’il n’est pas toujours possible d’éviter l’ennui ou de se libérer d’une situation où vous ne faites rien.
Refus de choisir pour éviter l’ennui ?
La bonne nouvelle c’est qu’en tant que multipotentiel, vous comme moi, avons un immense panel de ressources qui nous permet de toujours trouver une manière de s’orienter ou de créer un job qui a du sens pour nous.
Du moins, temporairement !
Donc avant de choisir votre prochain job, vérifiez ces 3 points :
1. Vérifiez si vous aurez la possibilité de vous consacrer du temps hors travail pour faire des choses qui nourriront vos besoins et votre curiosité.
Voyez quels seraient la marge de manœuvre et le temps alloué aux initiatives si vous avez envie de vous impliquer dans un projet d’entreprise qui vous intéresse.
Quel serait votre niveau de vie sociale ?
On est des animaux sociaux et se sociabiliser fait partie de la pyramide de maslow, servez vous donc de ce job pour aussi répondre à ce besoin.
Donc avant de choisir un job, vérifiez s’il est compatible avec ces 3 points cités.
2. Ne pas chercher à savoir ce que j’aime
Si vous devez faire un choix de job, un choix de vie, quel que soit ce choix, ne portez pas votre attention sur ce que vous aimez ou vous voulez, car demain vous n’aimerez peut-être plus ou ne voudrez peut-être plus la même chose.
Non, vous devez absolument prendre en compte votre besoin de nouveauté, d’apprendre et d’explorer.
Et surtout, tout ce qui alimente votre curiosité.
3. Vous devez faire des choix en fonction des possibilités d’assouvir votre curiosité.
Je l’ai déjà dit en tant que multipotentiel, ce qui vous dope c’est l’apprentissage, la nouveauté, l’exploration.
Et ça tombe bien, car la curiosité stimule l’imagination, le travail créatif et l’innovation.
La revue scientifique Neuron, spécialisée dans le domaine des neurosciences, a publié les résultats d’une étude qui confirmait que la curiosité améliore l’apprentissage et la mémoire.
L’étude a révélé que la curiosité libère de la dopamine, cette molécule biochimique qui permet la communication au sein du système nerveux et qui est souvent associée au développement de la motivation.
La curiosité, le remède contre le refus de choisir
La curiosité a d’ailleurs motivé certaines des découvertes les plus marquantes de l’histoire.
Un exemple classique est la curiosité de Steve Jobs pour les polices de caractères qui l’a amené à assister à un cours, apparemment inutile, sur la typographie et à développer sa sensibilité au design.
Plus tard, cette sensibilité est devenue une partie essentielle des ordinateurs Apple.
Beaucoup de grandes inventions ont été trouvées grâce à la curiosité. La curiosité et l’envie d’en savoir plus sur les choses du monde qui nous entourent.
Le refus de choisir ? Non ! Le refus du statu quo !
Je fais une parenthèse, si il y a bien une chose qui nous caractérise en tant que multipotentiel, c’est le refus du statu quo.
L’accepter c’est être en manque de curiosité, ce qui signifie d’une certaine manière, être défaitiste.
Et ça peut-être dangereux, car cela engendre complaisance et résistance au changement.
Pour en revenir aux inventions, c’est grâce à la curiosité de Newton qui avait besoin de trouver une réponse à la question « pourquoi la pomme tombe sur le sol plutôt que d’aller vers le haut ? » qu’on a trouvée la loi de la gravité.
Alexander Graham Bell avait un intérêt pour le langage et était curieux des signaux sonores. En 1876 le prototype du téléphone est né.
L’imprimerie a contribué à démocratiser les connaissances et a facilité la diffusion de l’information et la communication.
Bien que de nombreux aspects de nos vies se soient adaptés à l’ère du numérique, l’attachement que l’on a pour les livres, les publicités, les panneaux d’affichage et même votre blog favori n’existerait pas comme aujourd’hui sans l’invention révolutionnaire de Gutenberg.
Donc, ne tombez pas dans le refus de choisir parce que vous êtes intéressé par tout
Car, bien souvent, il s’agit de trouver comment continuer à explorer, créer, rester curieux, ouvert d’esprit et laisser le champ des possibles ouverts, tout en trouvant une trajectoire, une cohérence, une place qui vous permet de gagner en confiance et de capitaliser sur vos expériences.
Alors, choisissez toujours la curiosité !
En tant que multipotentiel, vous avez cet avantage sur ces millions de personnes qui ont cessé d’être curieuses de faire de nouvelles expériences qui refusent d’assumer leurs responsabilités en construisant des routines.
Et la routine est incompatible avec la multipotentialité
Suivez votre curiosité
Vous n’êtes pas dans le refus de choisir, vous ne vous intéressez pas à tout, car tout est intéressant.
En refusant de choisir et en pensant s’intéresser à tout vous préservez juste votre champ des possibles afin d’anticiper une possible voie sans issue qui vous déconnecterait de qui vous êtes.
C’est pour cette raison que vous n’avez pas d’expertise à proprement parler.
Et une autre chose très importante, domptez votre envie de conserver votre liberté de choisir.
Car en étant dans le refus de choisir vous préservez votre liberté de choisir, méditez là-dessus.
Suivez donc votre curiosité elle vous emmènera là où vous devez aller.
Où vous devez être pour exprimer vos potentiels.
Et c’est la curiosité qui nourrit votre besoin d’être passionné et laisse le champ des possibles ouvert.
Je suis passionnément curieux
Personnellement, c’est ma curiosité qui m’aide à me former continuellement pour développer mes activités et à m’ouvrir à de nouvelles opportunités.
Cela m’aide à explorer des sujets que j’apprécie ou dont j’ai besoin sur le moment pour augmenter les possibilités d’être moi-même.
“Je n’ai pas de talent particulier. Je suis juste passionnément curieux », c’est ce qu’à un jour dit Albert Einstein.
Nourrir et développer votre curiosité vous aidera à sortir du refus de choisir et à découvrir une trajectoire pro ou perso incroyable.
Vous pouvez ne pas être passionné tout le temps par ce que vous faites.
Mais votre curiosité, vous pouvez l’activer n’importe quand.
Et vous pouvez construire sur ce que vous connaissez déjà.
Dans le cadre du salon SME où j’interviendrai lors d’une conférence sur le “social selling” et les réseaux sociaux le mardi 25 octobre à 14h, je vous partage cette astuce pour trouver une idée de boite qui déboîte et démarrer une entreprise.
En France, l’entrepreneuriat ne fait pas encore l’unanimité.
Et beaucoup de personnes pensent que démarrer une entreprise est un truc mystérieux.
Peut-être que comme ces personnes vous savez que vous n’êtes pas fait pour le salariat.
Vous savez que vous voulez démarrer une entreprise, mais vous ne savez pas par où commencer.
Dans cet article, je vais partager avec vous ce que je propose à mes clients pour les aider à trouver des idées et la manière dont vous pouvez faire pour ensuite agir.
Le bon moment pour démarrer une entreprise, c’est aujourd’hui
démarrer une entreprise
Avant ça, sachez qu’il n’y a pas de bon moment pour démarrer une entreprise.
Car, tout simplement il n’y a pas de mauvais moment pour entreprendre.
Dans les périodes économiques stables et positives, les gens ont de l’argent et vont chercher à le dépenser.
On est d’accord ?
Mais dans des périodes de crise, c’est bénéfique d’en lancer une car :
d’une les gens attendent que ça aille mieux pour se lancer
et de deux si vous proposez un produit en réponse à la crise, vous vous ferez remarquer.
J’admire les autres, moi j’ai peur de démarrer une entreprise
Il y a entre 500000 et 600000 entreprises qui se créent chaque année en France.
Il y a probablement des millions d’autres Français qui rêveraient de démarrer une entreprise.
Et ils ne le font pas.
Tout le monde a ses propres blocages et obstacles et c’est ce qui vous empêche de vous lancer.
La plupart des gens ont peur de commencer.
Ils peuvent craindre l’inconnu ou l’échec, voire le succès.
Dois-je réinventer la roue pour démarrer une entreprise
D’autres s’empêchent de commencer, car ils sont étouffés dans cette fausse croyance qu’il faille l’idée parfaite, une nouvelle invention ou un service unique pour se lancer.
En d’autres termes, ils pensent qu’ils doivent réinventer la roue.
Mais à moins que vous ne soyez un génie technologique – un autre Bill Gates ou Steve Jobs – essayer de réinventer la roue est une grande perte de temps.
Vous devriez toujours vous demander :
“Comment puis-je améliorer ceci ou cela ?
“Est-ce que je peux faire mieux ou différemment de l’autre gars là-bas?”
“Y at-il des parts de marché délaissées qui ouvriraient la porte à une autre boite dans ce secteur?”
Le truc pour obtenir plus d’idée
Voici donc le truc que j’utilise.
Tout d’abord, prenez une feuille de papier et, à travers le haut, écrivez “en ce qui me concerne”.
Énumérez cinq à sept choses sur vous-même – les choses que vous aimez faire ou dans lesquelles vous êtes vraiment bon, les choses personnelles.
Votre liste pourrait inclure: “Je suis bon pour apporter mes idées, j’adore trouver des solutions, etc.”.
Écrivez simplement ce qui vous vient à l’esprit, ce n’est pas grave si ça n’a pas énormément de sens.
Une fois que vous avez votre liste, numérotez chaque élément trouvé.
De l’autre côté du document, énumérez toutes les choses pour lesquels vous ne vous trouvez pas bon ou que vous n’aimez pas faire.
Peut-être que vous aimez vendre, mais vous n’aimez pas faire de porte à porte ou vous n’aimez pas parler en public ou vous ne voulez pas voyager.
Ne réfléchissez pas trop, écrivez simplement vos pensées.
Lorsque vous avez terminé, demandez-vous:
“S’il y existait trois à cinq produits ou services qui amélioreraient ma vie personnelle, qu’est-ce que ce seraient ?”
Votre vie personnelle actuelle en tant qu’homme/femme, mari/épouse, père/mère, épouse, etc.
Identifiez quels types de produits ou de services pourraient :
– vous rendre la vie plus simple et plus heureuse
– vous rendrez plus productif, plus efficace
– ou vous donner plus de temps.
Ensuite, posez-vous les mêmes questions concernant votre vie professionnelle.
Identifiez ce que vous aimez faire et ce vous détestez faire ainsi que les caractéristiques que vos collègues aiment et déteste de vous.
Enfin, demandez-vous pourquoi vous cherchez à démarrer une entreprise.
Puis, lorsque vous avez terminé, cherchez un modèle d’entreprise à développer.
C’est l’histoire de deux gars qui ont démarré une boite
Ça vous paraît trop compliqué ou trop simpliste ?
Démarrer une entreprise
OK ! Laissez-moi vous partager cette histoire de démarrage d’entreprise qui servira de très bon exemple pour illustrer l’exercice ci-dessus.
Il y a de nombreuses années, dans un quartier d’affaires deux jeunes salariés ont eu une idée.
Autour de leur lieu de travail, il n’y avait pas beaucoup de fast-food.
La plupart étaient dans la petite zone piétonne commerçante beaucoup plus loin.
Ces deux jeunes salariés trouvaient frustrant de se contenter de la cantine, car la galerie piétonne était trop loin.
Un jour, ils en ont eu marre de manger la même chose, l’un d’eux a dit à l’autre ; « Ça ne serait pas juste trop bien si nous pouvions être livrés au bureau les plats des restaurants qu’on veut ? »
Ils ont donc travaillé leur idée, ils se sont formés et ont commencé dans les guides de démarrages d’entreprises et commencés une entreprise de livraison de restaurants.
Pariez sur votre avenir
À ce jour, leur entreprise a livré plus de 15 millions de personnes!
Leur business ne part pas d’une idée compliquée ni d’une idée originale. Ils ont juste écouté leurs propres frustrations, leurs propres besoins et ont décidé d’agir en contrepartie.
Ils n’étaient pas les seuls à se plaindre du manque de choix lors de leur pause-déjeuner.
Et comme eux, des millions de travailleurs n’ont pas plus de 30 minutes le midi.
Alors, qu’ils pensaient répondre à des besoins personnels, ils se sont rendu compte qu’ils répondaient à un besoin général.
Prendre en compte et écouter vos propres frustrations est une manière de trouver des idées de business.
Les opportunités sont là, il suffit juste de les rechercher.
Si votre cerveau est toujours en mode idée, sûrement les idées s’entrechoquent entre elles et peu importe leur provenance que ça soit de vos recherches ou de vos lectures.
Par exemple, si vous lisez un article le réchauffement climatique, et si vous pensiez déjà à l’entrepreneuriat, vous pourriez vous dire: «Hey ! Il y a peut-être une opportunité pour moi de faire quelque chose pour ma planète. Je devrais commencer à y travailler ».
Si vous n’êtes toujours pas convaincu, je ne peux que vous inviter à vous rendre à des événements d’entrepreneurs.
Vous vous rendrez compte par vous-même que ce sont des personnes comme vous qui ont su se faire confiance.
Si vous avez un projet de création d’entreprise et que vous voulez développer votre état d’esprit d’entrepreneur, pensez au coaching, contactez Jordane et demander votre séance découverte.